Exposition collective ··· En attendant… Immanence Espace d’Art, PARIS

17. 04 > 22. 05 * 2021

Exposition personnelle ··· AUTRENOIR  

du 3 au 6 septembre 2020 – La Gueulerie d’art, BAGES / France

 

AUTRENOIR ··· Sarab Collective / Sarab Magazine  

mars 2020

SARAB MAGAZINE

 

 

Publication Portfolio ··· All About Photo  

du 30 décembre 2019

 

Exposition collective ··· HORS ZONE SYSTEM  

du 6 au 29 septembre 2019 – Chelles

 

 

Exposition collective ··· Bergger – Labo-argentique – Fred Goyeau / HL Hub de Hans Lucas 

du 1er au 6 juillet 2019 – Arles

 

A r l e s 2 0 1 9 https://www.facebook.com/events/380222262614116/ This year we will part of the Hans Lucas Hub in…

Publiée par Bergger official sur Mardi 18 juin 2019

 

Exposition personnelle ··· Sweet Surrender ··· du 1er au 6 juillet 2019 – Arles

La semaine prochaine, rencontre autour de mon exposition  » Sweet Surrender » au HL Hub / Espace BERGGER >>> 25 rue du 4 septembre / Arles * Expo visible du 1er au 6 juillet *

Publiée par Elisa Leonie Migda sur Mercredi 26 juin 2019

B a r y t a B e r g g e r / A r l e s 2 0 1 9 Exhibition « Sweet Surrender » Elisa Leonie Migda is preparing her…

Publiée par Bergger officialsur Jeudi 20 juin 2019

 

#arles2019 #bergger #analogphotography #exhibition >>> Du 1er au 6 juillet ! Arles 2019 / Bergger – Labo Argentique – Fred Goyeau Arles 2019 / Lectures de portfolio / HL Hub – Espace Bergger Bergger official

Publiée par Elisa Leonie Migda sur Jeudi 4 juillet 2019

Exposition collective ··· Le rêve d’un mouvement ··· janvier 2019

Placecliche ··· janvier 2019

 

Publication Corridor Elephant ··· novembre 2018

 

Le Langage des Viscères ··· 2018 / Amine Bouccekine

« Difficile de dire si les photographies de Elisa Leonie Migda révèlent le caractère onirique de la matière ou bien si elles exposent la dimension corporelle de la lumière. Entre les ondes et les particules, la réalité balance, et ces photographies semblent suivre ce mouvement à la trace tout en en livrant, notamment à travers une série d’autoportraits, des visions intimes et introspectives. »

 

Portraits du silence ··· Lelitteraire.com – 23 mai 2017 / Jean-Paul Gavard-Perret

« Elisa Migda trans­fi­gure le por­trait. Ses modèles semblent par­fois vou­loir échap­per à l’espace déli­mité par le cadre afin d’amorcer soit l’histoire d’une figu­ra­tion impos­sible, soit d’une pré­sence où le per­son­nage reste, fina­le­ment, piégé. Le por­trait reste insai­sis­sable. Les indices de réa­lité phé­no­mé­nale se dis­solvent dans cer­taines pho­to­gra­phies. Et le choix du noir et blanc ren­voie à un seuil d’émergence où le modèle est à la fois réel et irréel.
Ce n’est plus une his­toire qui est racon­tée, mais un jeu entre le per­son­nage et la focale de l’appareil pho­to­gra­phique. Même dans ses auto­por­traits, Elisa Migda refuse la séduc­tion spé­cu­laire au moment où para­doxa­le­ment le visage est cadré de près par le champ de l’objectif. L’image devient une manière de sug­gé­rer une attente ou un l’écho en pro­gres­sion vers une forme de pré­sent dubi­ta­tif, de pré­sent sans présent. »

 

Films muets ··· Le Salon Littéraire / L’Internaute – 28 mars 2017 / Jean-Paul Gavard-Perret / Films muets

« L’expérience esthétique d’Elisa Migda  est autant existentielle que  photographique et rappelle la phrase de Berkeley  au sujet des images :“Esse est percipi” (“être c’est être perçu”).  Cette phrase demeure capitale pour comprendre le problème généré par une photographe qui précipite dans des abîmes. Cette plongée abyssale est créée au moyen d’une série d’apparitions et de disparitions.

Elisa Migda déblaie l’image et instruit un procès de la représentation. Peu à peu tout s’achemine vers l’effacement et l’extinction dans  une matrice vidée de matière : le modèle peut s’y installer pour se laisser bercer, tandis que le spectateur contemple la scène en une sorte de voyeurisme « déceptif ».  Le modèle ignore l’appareil qui saisit son corps parfois de manière frontale. La femme demeure prostrée jusqu’à l’épuisement  de l’image qui se termine dans le spectre du noir. Parfois elle a la tête dans les mains, pas encore véritablement affalée elle  suggère un balancement qui se meurt.

Demeurent des fragments d’images des morceaux de lumière, des cheminements sans but ou des prostrations d’épuisés. L’artiste devient proche de Beckett lorsque dans  son « Aperçu général »  de « Film » il précise son propos :« le perçu de soi soustrait à toute perception étrangère, divine, humaine. La recherche du non-être par suppression de toute perception étrangère ». La photographe suggère un mouvement de régression vers un lieu primitif. Un lieu d’avant les images. Un lieu d’avant la vie. Un lieu où tout a fini au moment de commencer. »

L’Oeil de la Photographie – 18 mars 2017

Apparitions ··· Kiosk Of Democracy – 21 janvier 2017

Kiosk der Demokratie – Portfolio

La Couleur de la Nuit

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Exposition collective / 07 octobre > 13 novembre 2016
Galerie Des Hospices de Canet en Roussillon

Galerie des Hospices . PO-Life

 

Exposition – Atelier – Ecriture

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En mai, la médiathèque de Saint-Estève (66) lance pour la 8ème année consécutive un atelier « photographie / écriture » destiné au public adulte et adolescent. Ce dernier propose aux participants de s’inspirer d’une image pour écrire un texte, en prose ou en poésie, puis il invite à un échange autour de l’écriture et de l’imagination.
Expositions : Juin 2016 / Novembre – Décembre 2016  –  Médiathèque Saint Estève – AteliersExpositions – Ateliers

 

Exposition collective ··· La ville décomposée ··· Langage des Viscères – Auditorium Saint-Germain, Paris, 2014

Langage-des-visceres-exposition-elisa-migda-two

Lectures de textes de Jérôme Attal, Amine Boucekkine, Céline Renoux et Marianne /// Les concerts du groupe Farewell Poetry ainsi que le duo parisien Trésors. Une création audiovisuelle expérimentale inédite d’Amaury da Cunha /// Kore, le dernier court-métrage d’Eric Dinkian /// Un diaporama de photographies de Lynn SK accompagné de la lecture de « Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s’annonce » de Lola Lafon /// Un VJ set de Dorianne Wotton.

Artistes et Photographes : 

Takehiko Nakafuji – Carol Aplogan – Dorianne Wotton – Daria Endresen – Angel Roy – Nihil – Stéphane Dégremont – David Tysman – Chrystel Egal – Diane Dufraisy – Eric Bénier-Bürckel – Virginio Vona – Elisa Léonie Migda.

Le Langage des Visceres
Farewell Poetry
Eric Dinkian
Takehiko Nakafuji
Amaury da Cunha
Daria Endresen
[NIHIL]
Lola Lafon
Dorianne Wotton
Diane Dufraisy Couraud
Lynn SK
MPAA – Auditorium Saint Germain

Contributions 

The Limiñanas ··· Malamore ··· Garden of Love (feat. Peter Hook) / The Limiñanas

The Man and The Sea ··· A Visual Poem / Le parking

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